
Les patrons et éditeurs de presse ne comptent pas se rendre à la Concertation nationale les mains vides. Convoquée par le gouvernement du Sénégal, cette rencontre, initialement prévue les 21, 22 et 23 décembre a été reportée sine die. N’empêche, les patrons et éditeurs de presse comptent jouer pleinement leur rôle, malgré le fait que les préparatifs vers cette échéance ne soient pas encore totalement au point. ‘Le gouvernement, qui avait eu cette initiative qui devrait réunir tous les secteurs d’activités de la nation, est en train de faire des réglages à son niveau’, note Madiambal Diagne, porte-parole des éditeurs et patrons de presse, qui se réunissaient hier aux Almadies.
Face à ce constat, les patrons de presse sont arrivés à la conclusion selon laquelle ces concertations ne pourront pas se tenir aux dates prévues. ‘Néanmoins, poursuit le patron du Groupe Avenir Communication, nous avons mis en place des commissions préparatoires qui vont travailler en vue de cela’. ‘Ces commissions vont regarder le nouveau Code de la presse qui sera proposé, mais aussi travailler sur des propositions à présenter au gouvernement pour l’amélioration de l’entreprise de presse au Sénégal. Nous avons manifesté beaucoup d’intérêt en direction de cette concertation nationale’, relève Madiambal Diagne.
Ainsi, la presse se mobilise afin de faire des propositions pour améliorer le cadre juridique et économique d’évolution des entreprises de presse. Dans les commissions mises en place, on retrouve des patrons de presse, des inspecteurs du travail, des juristes, des spécialistes de la finance...
Revenant sur les raisons de la non tenue de cette concertation nationale aux dates prévues, Madiambal Diagne évoque des retards opérés dans l’élaboration des documents de base. ‘Avant d’aller à une concertation, il faudrait que les documents de base de cette concertation soient achevés. Le ministère de la Communication avait mis en place des commissions de travail qui n’ont pas encore fini leur conclave. Nous attendons le rapport général pour la concertation et certains rapports techniques. Ces documents de base sont toujours en élaboration’, fait savoir le porte-parole des patrons de presse.
Une fois bouclés, ces documents feront l’objet d’un large partage de la part de tous les acteurs de la corporation. ‘Chacun en ce qui le concerne doit s’en imprégner pour savoir les tenants et les aboutissants avant d’aller à une rencontre formelle’, soutient Madiambal Diagne qui invite tous les segments à ne pas se précipiter. Selon lui, il vaut mieux se donner le temps de bien préparer ces conclaves. C’est au ministère de la Communication de faire les invitations le moment venu. La tutelle ne manquera pas de convoquer tous les secteurs d’activités du pays afin d’avoir une concertation la plus large possible.
Issa NIANG
Source Walfadjri
Face à ce constat, les patrons de presse sont arrivés à la conclusion selon laquelle ces concertations ne pourront pas se tenir aux dates prévues. ‘Néanmoins, poursuit le patron du Groupe Avenir Communication, nous avons mis en place des commissions préparatoires qui vont travailler en vue de cela’. ‘Ces commissions vont regarder le nouveau Code de la presse qui sera proposé, mais aussi travailler sur des propositions à présenter au gouvernement pour l’amélioration de l’entreprise de presse au Sénégal. Nous avons manifesté beaucoup d’intérêt en direction de cette concertation nationale’, relève Madiambal Diagne.
Ainsi, la presse se mobilise afin de faire des propositions pour améliorer le cadre juridique et économique d’évolution des entreprises de presse. Dans les commissions mises en place, on retrouve des patrons de presse, des inspecteurs du travail, des juristes, des spécialistes de la finance...
Revenant sur les raisons de la non tenue de cette concertation nationale aux dates prévues, Madiambal Diagne évoque des retards opérés dans l’élaboration des documents de base. ‘Avant d’aller à une concertation, il faudrait que les documents de base de cette concertation soient achevés. Le ministère de la Communication avait mis en place des commissions de travail qui n’ont pas encore fini leur conclave. Nous attendons le rapport général pour la concertation et certains rapports techniques. Ces documents de base sont toujours en élaboration’, fait savoir le porte-parole des patrons de presse.
Une fois bouclés, ces documents feront l’objet d’un large partage de la part de tous les acteurs de la corporation. ‘Chacun en ce qui le concerne doit s’en imprégner pour savoir les tenants et les aboutissants avant d’aller à une rencontre formelle’, soutient Madiambal Diagne qui invite tous les segments à ne pas se précipiter. Selon lui, il vaut mieux se donner le temps de bien préparer ces conclaves. C’est au ministère de la Communication de faire les invitations le moment venu. La tutelle ne manquera pas de convoquer tous les secteurs d’activités du pays afin d’avoir une concertation la plus large possible.
Issa NIANG
Source Walfadjri