
C’est le cas, parce que le Pr Iba Der Thiam, coordonnateur de la Cap 21, depuis ses dix ans d’existence, ne propose à la place de la Commission cellulaire, que veut l’opposition, que l’arbitrage du National democratic institute (Ndi). C’est une organisation américaine qui s’active à la promotion et à la défense de la démocratie. Ce rôle éminent et important n’autorise pas, pour autant, son immixtion dans des affaires sénégalo-sénégalaises. Le faire équivaudrait à faire preuve de complexe et à remettre en cause la souveraineté du Sénégal.
Professeur d’histoire, Iba Der Thiam sait que le Sénégal abrite des élections depuis le dix-huitième siècle. Devenu indépendant, il a abrité, avec ses forces vives des scrutins qui ont permis à son nouveau mentor de devenir le président du Sénégal. C’est grâce à un consensus national que le Code électoral, que le régime tient à revoir, a vu le jour sous la direction du regretté magistrat Kéba Mbaye. Il s’y ajoute que le Pr Thiam sait, plus que quiconque, que le Ndi, par principe, n’acceptera de jouer le rôle qu’il agite. Ce ne serait ni démocratique, ni juste, de la part de cette organisation qui suit le processus démocratique et électoral du Sénégal depuis des années.
En fait, l’inamovible coordonnateur de la Cap 21 et 1er vice-président de l’Assemblée nationale a été instruit de divertir l’opposition et les Sénégalais. Car, le président Wade hésite encore à organiser l’élection présidentielle en 2012, comme il s’y était engagé. Il sait que le contexte ne lui est plus favorable. Il hésite entre un forcing avant terme et un report du scrutin à une date qui lui soit plus favorable. C’est ce qui fait que son « soldat » Der protége sa progression par des tirs de distraction. Mais, il lui sera difficile d’aider son « général » à trouver l’abri qu’il faut pour venir à bout de l’opposition et des Sénégalais, qui piquent, de plus en plus, l’allergie qu’il avait pour Wade.
La Redaction
Professeur d’histoire, Iba Der Thiam sait que le Sénégal abrite des élections depuis le dix-huitième siècle. Devenu indépendant, il a abrité, avec ses forces vives des scrutins qui ont permis à son nouveau mentor de devenir le président du Sénégal. C’est grâce à un consensus national que le Code électoral, que le régime tient à revoir, a vu le jour sous la direction du regretté magistrat Kéba Mbaye. Il s’y ajoute que le Pr Thiam sait, plus que quiconque, que le Ndi, par principe, n’acceptera de jouer le rôle qu’il agite. Ce ne serait ni démocratique, ni juste, de la part de cette organisation qui suit le processus démocratique et électoral du Sénégal depuis des années.
En fait, l’inamovible coordonnateur de la Cap 21 et 1er vice-président de l’Assemblée nationale a été instruit de divertir l’opposition et les Sénégalais. Car, le président Wade hésite encore à organiser l’élection présidentielle en 2012, comme il s’y était engagé. Il sait que le contexte ne lui est plus favorable. Il hésite entre un forcing avant terme et un report du scrutin à une date qui lui soit plus favorable. C’est ce qui fait que son « soldat » Der protége sa progression par des tirs de distraction. Mais, il lui sera difficile d’aider son « général » à trouver l’abri qu’il faut pour venir à bout de l’opposition et des Sénégalais, qui piquent, de plus en plus, l’allergie qu’il avait pour Wade.
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