![[CONTRIBUTION] Benno devant l'histoire: BENNO SIGGIL SENEGAL NE DOIT PAS REFUSER LA RENCONTRE AVEC WADE [CONTRIBUTION] Benno devant l'histoire: BENNO SIGGIL SENEGAL NE DOIT PAS REFUSER LA RENCONTRE AVEC WADE](https://www.xibar.net/photo/art/default/1640319-2208241.jpg?v=1290026303)
Combien de fois nos opposants, nos ONG, nos syndicats, de simples citoyens, ont posé sur la place publique des problèmes de mal gouvernance qui ont trait au foncier, à la transparence au niveau des marchés publics, à des pots de vins sur le plan de la diplomatie (voir les fonds de Taiwan, les licences de pèche, les fonds de L’OCI…….) et à des supposées injustices comme le problème de jean le Febvre et autres.
Aujourd’hui que Wade accepte le jeu de la transparence en prenant comme témoins les journalistes qui cherchent la bonne information et qui ont la possibilité d’avoir tous les acteurs autour d’une même table dont les hauts fonctionnaires que Wade libère du devoir de réserve, les bailleurs de fonds, les représentations diplomatiques et les citoyens, personne n’a le droit de nous priver de ce droit de savoir.
Parler de conférence nationale est une fuite en avant, refuser cette rencontre est encore une fuite en avant, c’est avoir peur de voir Wade sortir de ses tiroirs des dossiers compromettants pour certains qui ont à participer à la gestion de ce pays.
Le peuple qui doute des politiciens, préfère ce format à la place d’une rencontre entre quatre murs où l’on négocie sur son dos sans aborder les dossiers qui sont à l’origine de ses maux qui sont : manque d’emploi, pression fiscale, problème d’énergie, soins de santé, routes, mal vivre généralisé.
Si l’opposition ne répond pas à cette grande rencontre, nous allons proposer un mouvement populaire pour reconduire le système de Wade il vient de proposer quelque chose d’inédit dont nous avons besoin pour poser nos questions à travers la presse qui devra être notre voix car devant
Il n y aura plus de transparence dans ce pays si cette occasion est ratée, notre presse ne pourra plus revendiquer un droit d’accès à l’information car elle a la possibilité d’utiliser les deux camps pour avoir des réponses aux nombreux dossiers qui lui ont valu des procès pour difficultés d’accès aux preuves qui confirment la véracité de leurs différentes affirmations. Nous savons que ce n’est pas une conférence de presse mais les questions peuvent être portées par les différents acteurs du dialogue.
Nous devons tous pousser à la matérialisation de cette rencontre pour élucider beaucoup de problèmes afin que ce climat insoutenable de délation d’insinuation, de mauvais procès soit atténué pour nous permettre de mieux respirer car nous connaissons un degré de pollution comparable au dernier film de Hulot.
SADIBOU NDIAYE
Source Siweul.com
Aujourd’hui que Wade accepte le jeu de la transparence en prenant comme témoins les journalistes qui cherchent la bonne information et qui ont la possibilité d’avoir tous les acteurs autour d’une même table dont les hauts fonctionnaires que Wade libère du devoir de réserve, les bailleurs de fonds, les représentations diplomatiques et les citoyens, personne n’a le droit de nous priver de ce droit de savoir.
Parler de conférence nationale est une fuite en avant, refuser cette rencontre est encore une fuite en avant, c’est avoir peur de voir Wade sortir de ses tiroirs des dossiers compromettants pour certains qui ont à participer à la gestion de ce pays.
Le peuple qui doute des politiciens, préfère ce format à la place d’une rencontre entre quatre murs où l’on négocie sur son dos sans aborder les dossiers qui sont à l’origine de ses maux qui sont : manque d’emploi, pression fiscale, problème d’énergie, soins de santé, routes, mal vivre généralisé.
Si l’opposition ne répond pas à cette grande rencontre, nous allons proposer un mouvement populaire pour reconduire le système de Wade il vient de proposer quelque chose d’inédit dont nous avons besoin pour poser nos questions à travers la presse qui devra être notre voix car devant
Il n y aura plus de transparence dans ce pays si cette occasion est ratée, notre presse ne pourra plus revendiquer un droit d’accès à l’information car elle a la possibilité d’utiliser les deux camps pour avoir des réponses aux nombreux dossiers qui lui ont valu des procès pour difficultés d’accès aux preuves qui confirment la véracité de leurs différentes affirmations. Nous savons que ce n’est pas une conférence de presse mais les questions peuvent être portées par les différents acteurs du dialogue.
Nous devons tous pousser à la matérialisation de cette rencontre pour élucider beaucoup de problèmes afin que ce climat insoutenable de délation d’insinuation, de mauvais procès soit atténué pour nous permettre de mieux respirer car nous connaissons un degré de pollution comparable au dernier film de Hulot.
SADIBOU NDIAYE
Source Siweul.com