Violences faites aux travailleuses et travailleurs du sexe : «Il est temps qu’on nous entende»
Neuf mois après le premier confinement. Dix mois après l’assassinat de Jessyca Sarmiento, prostituée trans et migrante tuée au bois de Boulogne le 21 février. Ce jeudi, travailleuses et travailleurs du sexe (TDS) seront rassemblés dans plusieurs villes de France à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites à leur égard. A Paris, Lyon ou encore Marseille, les associations de santé communautaire font le même constat : la stigmatisation, la précarité et les violences ne cessent de s’accroître. Et la crise sanitaire n’arrange rien.
Depuis de longs mois, les TDS alertent les pouvoirs publics sur leur situation dramatique, accentuée par la pandémie. Sans succès. C’est par un drôle de hasard de calendrier que, ce jeudi également, le cabinet d’Elisabeth Moreno, ministre déléguée chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, va enfin recevoir les associations.
liberation.fr
Neuf mois après le premier confinement. Dix mois après l’assassinat de Jessyca Sarmiento, prostituée trans et migrante tuée au bois de Boulogne le 21 février. Ce jeudi, travailleuses et travailleurs du sexe (TDS) seront rassemblés dans plusieurs villes de France à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites à leur égard. A Paris, Lyon ou encore Marseille, les associations de santé communautaire font le même constat : la stigmatisation, la précarité et les violences ne cessent de s’accroître. Et la crise sanitaire n’arrange rien.
Depuis de longs mois, les TDS alertent les pouvoirs publics sur leur situation dramatique, accentuée par la pandémie. Sans succès. C’est par un drôle de hasard de calendrier que, ce jeudi également, le cabinet d’Elisabeth Moreno, ministre déléguée chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, va enfin recevoir les associations.
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