
Si comme l’a affirmé au président Wade le Vatican n’a aucun problème avec l’État du Sénégal, il n’en demeure pas moins que le président Wade par contre a un réel problème avec la communauté chrétienne du Sénégal.
À ce propos, le Vatican a fermement condamné les propos que le président Wade a eu à l’endroit de ses fidèles vivant au Sénégal. Il lui a été signifié que les Chrétiens adorent Dieu, par le biais de son Envoyé, Jésus Christ. Il lui a été rappelé que la mission évangélique, contrairement à lui, a opté, depuis son implantation, de faire « du bien » sans « bruit ».
Elle lutte contre les maladies, dans les nombreux structures de santé qu’elle a implanté à travers le Sénégal. Elle veille à l’éducation, grâce à ses nombreuses écoles, d’où sont sorties bien des cadres du pays. Ses Sœurs franciscaines recueillent, élèvent et éduquent des enfants abandonnés.
Un rappel fait par Le Vatican pour demander au président Wade d’œuvrer dans le sens du respect et de l’effectivité des droits humains. C’était pour dire, dans sa réponse, dont La Rédaction détient une copie, que si ce n’était pas l’Église, en partie, le taux de mortalité infantile serait plus inquiétant au Sénégal, tout comme la déperdition scolaire et morale, voire l’analphabétisme, et l’enfance en situation difficile.
C’est d’ailleurs pour faire son mea culpa que le président Wade aurait nommé un ministre chargé des affaires religieuses. Si la noblesse était « wadienne », le président aurait, au moins, démissionné après réception de la réponse du Vatican. Hélas, il ne songe pas à partir pendant « qu’il est encore temps » !
Pour sa part l’Église catholique a décidé de tourner la page Abdoulaye Wade. À l’issue de la marche que les Catholiques de la région sud ont organisé à Ziguinchor, la Cathédrale a conclu que le président Wade ne peut rien lui apporter et qu’elle n’attend rien de lui. Mais, elle ne lui permettra pas d’être son défouloir.
Suite aux nombreuses visites d’amitié et de soutien de guides Musulmans auprès de Monseigneur Théodore Adrien Sarr, l’Église sénégalaise a réaffirmé sa conviction que rien ni personne ne pourra opposer leur communauté et celle des adeptes de l’Islam. Il s’y ajoute que les uns et les autres adorent le même Dieu, et ne croient pas aux statues.
La Redaction
À ce propos, le Vatican a fermement condamné les propos que le président Wade a eu à l’endroit de ses fidèles vivant au Sénégal. Il lui a été signifié que les Chrétiens adorent Dieu, par le biais de son Envoyé, Jésus Christ. Il lui a été rappelé que la mission évangélique, contrairement à lui, a opté, depuis son implantation, de faire « du bien » sans « bruit ».
Elle lutte contre les maladies, dans les nombreux structures de santé qu’elle a implanté à travers le Sénégal. Elle veille à l’éducation, grâce à ses nombreuses écoles, d’où sont sorties bien des cadres du pays. Ses Sœurs franciscaines recueillent, élèvent et éduquent des enfants abandonnés.
Un rappel fait par Le Vatican pour demander au président Wade d’œuvrer dans le sens du respect et de l’effectivité des droits humains. C’était pour dire, dans sa réponse, dont La Rédaction détient une copie, que si ce n’était pas l’Église, en partie, le taux de mortalité infantile serait plus inquiétant au Sénégal, tout comme la déperdition scolaire et morale, voire l’analphabétisme, et l’enfance en situation difficile.
C’est d’ailleurs pour faire son mea culpa que le président Wade aurait nommé un ministre chargé des affaires religieuses. Si la noblesse était « wadienne », le président aurait, au moins, démissionné après réception de la réponse du Vatican. Hélas, il ne songe pas à partir pendant « qu’il est encore temps » !
Pour sa part l’Église catholique a décidé de tourner la page Abdoulaye Wade. À l’issue de la marche que les Catholiques de la région sud ont organisé à Ziguinchor, la Cathédrale a conclu que le président Wade ne peut rien lui apporter et qu’elle n’attend rien de lui. Mais, elle ne lui permettra pas d’être son défouloir.
Suite aux nombreuses visites d’amitié et de soutien de guides Musulmans auprès de Monseigneur Théodore Adrien Sarr, l’Église sénégalaise a réaffirmé sa conviction que rien ni personne ne pourra opposer leur communauté et celle des adeptes de l’Islam. Il s’y ajoute que les uns et les autres adorent le même Dieu, et ne croient pas aux statues.
La Redaction