
Me Abdoulaye Wade devenu président, son fils, qui n’était qu’un courtier dans une banque anglaise, sera appelé aux affaires, en tant que conseiller de son père. Le népotisme venait d’être érigé en règle par le nouveau régime. Il ira crescendo.
Avant même de faire le bilan de l’Anoci, que lui avait confié son père pour le propulser dans les grandes cours des rois et princes arabes, Karim sera élevé au rang de ministre d’État. En dépit de son manque d’expérience, les affaires les plus essentielles pour la marche du pays lui seront confiées.
Aujourd’hui peinant à marquer de son empreinte la Coopération internationale, il en redemande. Chargé de l’aménagement d’un pays qu’il ne connaît pas, après avoir étalé sa carence en matière de transports aériens, qu’il gère également, il va faire de l’ombre au secrétariat général de la présidence.
Depuis que son père a eu un malaise, comme rapporté par la presse, il est désormais celui qui filtre les audiences de son père. Karim entend diriger le protocole du président, pour tenter de masquer la dégénérescence de Wade. L’arbre pourra-t-il cacher la forêt ? Evidemment, non ! Par ses agissements le fils du président fait prendre beaucoup de risque au Sénégal, avec la complicité de son père. Il veut être au four et au moulin. Il se cherche, en tâtant à tout sans jamais réussir.
En dehors de la plainte pendante devant le tribunal parisien contre lui et son père, pour enrichissement illicite, il pourrait se retrouver avec bien d’autres accusations dans le dos. Mais, Karim est si inconscient qu’il ne sait pas que chaque acte qu’il pose est un coup de scie de plus dans la branche sur laquelle il est assis sur les genoux de son père. Car, le Sénégal leur survivra !
La Redaction
Avant même de faire le bilan de l’Anoci, que lui avait confié son père pour le propulser dans les grandes cours des rois et princes arabes, Karim sera élevé au rang de ministre d’État. En dépit de son manque d’expérience, les affaires les plus essentielles pour la marche du pays lui seront confiées.
Aujourd’hui peinant à marquer de son empreinte la Coopération internationale, il en redemande. Chargé de l’aménagement d’un pays qu’il ne connaît pas, après avoir étalé sa carence en matière de transports aériens, qu’il gère également, il va faire de l’ombre au secrétariat général de la présidence.
Depuis que son père a eu un malaise, comme rapporté par la presse, il est désormais celui qui filtre les audiences de son père. Karim entend diriger le protocole du président, pour tenter de masquer la dégénérescence de Wade. L’arbre pourra-t-il cacher la forêt ? Evidemment, non ! Par ses agissements le fils du président fait prendre beaucoup de risque au Sénégal, avec la complicité de son père. Il veut être au four et au moulin. Il se cherche, en tâtant à tout sans jamais réussir.
En dehors de la plainte pendante devant le tribunal parisien contre lui et son père, pour enrichissement illicite, il pourrait se retrouver avec bien d’autres accusations dans le dos. Mais, Karim est si inconscient qu’il ne sait pas que chaque acte qu’il pose est un coup de scie de plus dans la branche sur laquelle il est assis sur les genoux de son père. Car, le Sénégal leur survivra !
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