
« État voyou » : on qualifie ainsi des pays qui sont des plaques tournantes pour les terroristes. Le Sénégal n’en est pas à ce niveau, encore, quand bien même qu’il est frontalier d’avec la Mauritanie, où Ben Laden fait de plus en plus d’émules.
Un État est, encore, « voyou », lorsqu’il est un paradis où trouvent refuge et assistance les délinquants financiers. Or, le Sénégal est indexé comme étant un pays où le blanchiment de l’argent sale est même pratiqué par son président, qui circule avec des centaines de millions en devises étrangères, dont les banques locales ignorent la provenance, parce que n’étant pas émetteurs. Abdoulaye Wade est cité dans des affaires d’argent très sordides, ceci depuis qu’il a inauguré son magistère à la tête du Sénégal. La dernière en date opposait son garde de corps et petit-fils, Lamine Faye, à son neveu et aide de camp, Cheikh Bara Cissokho. Bien avant les milliards de Taiwan, les marchés offerts à ses « amis » français, au détriment des entrepreneurs nationaux qu’il torpille, son partage du « butin » avec son « complice » Idrissa Seck, qui virera en feuilleton judiciaire international, entre autres faits, avaient défrayé la chronique. Un État est, aussi, « voyou » lorsqu’il est contrôlé par des narcotrafiquants ou tire l’essentiel de ses revenus de la vente de drogue.
Si on ne peut pas autant en dire du Sénégal, force est d’avouer que bien de la drogue transite par notre pays et y est écoulée. La plus grande saisie au monde en 2008 de cocaïne a été effectuée à 50 kilomètres de Dakar (Saly). D’importantes saisies de drogues dures et de cannabis barrent régulièrement la Une des quotidiens sénégalais. Si un État est « voyou », parce qu’ayant érigé le népotisme et la corruption comme pratiques courantes, le Sénégal l’est alors : Abdoulaye a nommé son fils, Karim, ministre d’État, sa fille Sindiely est une de ses conseillères et la clef de voûte de son cabinet, son garde du corps est son petit-fils, son aide de camp et son chauffeur sont ses neveux et Fatou Sakho, sa chargée de missions occultes est sa nièce. Il a nommé à la tête de sociétés ses parents : c’est le cas de la très liquide société qui gère toutes les côtes du Sénégal, Sapco, que dirige son neveu Ndiouga Sakho. Un État est « voyou », lorsqu’il n’applique pas la démocratie et la bonne gouvernance.
De ce point de vue, l’État sénégalais est bel et bien un « voyou » : le régime libéral a une assemblée nationale et un Sénat acquis à sa cause. Le Parlement met en branle sa majorité mécanique pour voter toutes les lois que lui propose le gouvernement. La tentative de corruption sur un agent du Fonds monétaire international qu’Abdoulaye Wade a qualifié de « cadeau », est le récent scandale qui atteste de sa pratique de mal gouvernance. Un État est voyou quand ses dirigeants combattent les citoyens qui ont réussi honnêtement dans leurs domaines d’activité et font la promotion des médiocres, qui leur servent de relais et d’hommes de mains. C’est le jeu favori de l’actuel président, Abdoulaye Wade, et de son fils Karim qui traquent tous les Sénégalais qui ont réussi honnêtement à se faire un nom avant l’alternance.
Le Sénégal est, également, un « État voyou » parce que ne respectant pas parfois des règles internationales, voire l’éthique : ce fut le cas avec la « bénédiction, par Abdoulaye Wade, de putschs, en Guinée et en Mauritanie. Me Wade est également célèbre du fait de ses tripatouillages de la Constitution du Sénégal. Il a inspiré des chefs d’États, dont Tanjan du Niger. Wade est connu pour ses ingérences dans les affaires internes de pays souverains, comme dernièrement, quand il proposait à la France l’échange d’assassins contre une Française arrêtée en Iran. Mais,attention au retour de bâton : Un voyou est partout et toujours combattu. C’est son destin !
La Redaction
Un État est, encore, « voyou », lorsqu’il est un paradis où trouvent refuge et assistance les délinquants financiers. Or, le Sénégal est indexé comme étant un pays où le blanchiment de l’argent sale est même pratiqué par son président, qui circule avec des centaines de millions en devises étrangères, dont les banques locales ignorent la provenance, parce que n’étant pas émetteurs. Abdoulaye Wade est cité dans des affaires d’argent très sordides, ceci depuis qu’il a inauguré son magistère à la tête du Sénégal. La dernière en date opposait son garde de corps et petit-fils, Lamine Faye, à son neveu et aide de camp, Cheikh Bara Cissokho. Bien avant les milliards de Taiwan, les marchés offerts à ses « amis » français, au détriment des entrepreneurs nationaux qu’il torpille, son partage du « butin » avec son « complice » Idrissa Seck, qui virera en feuilleton judiciaire international, entre autres faits, avaient défrayé la chronique. Un État est, aussi, « voyou » lorsqu’il est contrôlé par des narcotrafiquants ou tire l’essentiel de ses revenus de la vente de drogue.
Si on ne peut pas autant en dire du Sénégal, force est d’avouer que bien de la drogue transite par notre pays et y est écoulée. La plus grande saisie au monde en 2008 de cocaïne a été effectuée à 50 kilomètres de Dakar (Saly). D’importantes saisies de drogues dures et de cannabis barrent régulièrement la Une des quotidiens sénégalais. Si un État est « voyou », parce qu’ayant érigé le népotisme et la corruption comme pratiques courantes, le Sénégal l’est alors : Abdoulaye a nommé son fils, Karim, ministre d’État, sa fille Sindiely est une de ses conseillères et la clef de voûte de son cabinet, son garde du corps est son petit-fils, son aide de camp et son chauffeur sont ses neveux et Fatou Sakho, sa chargée de missions occultes est sa nièce. Il a nommé à la tête de sociétés ses parents : c’est le cas de la très liquide société qui gère toutes les côtes du Sénégal, Sapco, que dirige son neveu Ndiouga Sakho. Un État est « voyou », lorsqu’il n’applique pas la démocratie et la bonne gouvernance.
De ce point de vue, l’État sénégalais est bel et bien un « voyou » : le régime libéral a une assemblée nationale et un Sénat acquis à sa cause. Le Parlement met en branle sa majorité mécanique pour voter toutes les lois que lui propose le gouvernement. La tentative de corruption sur un agent du Fonds monétaire international qu’Abdoulaye Wade a qualifié de « cadeau », est le récent scandale qui atteste de sa pratique de mal gouvernance. Un État est voyou quand ses dirigeants combattent les citoyens qui ont réussi honnêtement dans leurs domaines d’activité et font la promotion des médiocres, qui leur servent de relais et d’hommes de mains. C’est le jeu favori de l’actuel président, Abdoulaye Wade, et de son fils Karim qui traquent tous les Sénégalais qui ont réussi honnêtement à se faire un nom avant l’alternance.
Le Sénégal est, également, un « État voyou » parce que ne respectant pas parfois des règles internationales, voire l’éthique : ce fut le cas avec la « bénédiction, par Abdoulaye Wade, de putschs, en Guinée et en Mauritanie. Me Wade est également célèbre du fait de ses tripatouillages de la Constitution du Sénégal. Il a inspiré des chefs d’États, dont Tanjan du Niger. Wade est connu pour ses ingérences dans les affaires internes de pays souverains, comme dernièrement, quand il proposait à la France l’échange d’assassins contre une Française arrêtée en Iran. Mais,attention au retour de bâton : Un voyou est partout et toujours combattu. C’est son destin !
La Redaction