Dakar, 25 mai (APS) - Les changements récemment intervenus jeudi dernier au sein de la hiérarchie de la Police nationale ont été ‘’bien balancés’’ et sont ‘’adéquats’’ au vu du contexte actuel du pays, a analysé dimanche à Dakar le journaliste Babacar Justin Ndiaye.
‘’Maintenant, c’est le renseignement qui est porté au pinacle, parce qu’aujourd’hui, face à cette trouvaille que représente les Assises’’ nationales de l’opposition, ‘’on est en plein dans la politique’’, a-t-il soutenue au cours de ‘’remue-ménage’’, une émission de la Radio futurs médias (RFM, privée).
Par conséquent, a ajouté M. Ndiaye, par ailleurs observateur reconnu de la vie politique sénégalaise, ‘’il s’agit de savoir ce que fait l’adversaire, il s’agit aussi de dégager des perspectives, donc de baliser et pour ça le renseignement fourni un éclairage adéquat aux décideurs’’.
Evoquant les profils et non les hommes nouvellement promus, il a souligné que le commissaire Saliou Diallo, qui a succédé à Assane Ndoye à la tête de la direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), ‘’fait partie du premier contingent de grands intellectuels recrutés dans la police vers 1975’’.
A cette date en effet, a-t-il rappelé, Jean Collin, ministre d’Etat sous le règne du président Abdou Diouf, ‘’a opéré un tournant en dirigeant le recrutement du côté de l’université et des universitaires. M. Diallo fait partie de cette première phalange de policiers intellectuels excellents’’.
‘’Il faut dire que ces remaniements dans la police ont été bien balancés’’, a-t-il encore analysé.
‘’Autant M. Diallo est un spécialiste, un seigneur du renseignement’’, autant son adjoint Abdoulaye Dioum, ‘’qui a fait le Burundi et qui a fait surtout le commissariat central de Ziguinchor, est un spécialiste lui de la sécurité publique’’, a-t-il précisé.
‘’Maintenant, c’est le renseignement qui est porté au pinacle, parce qu’aujourd’hui, face à cette trouvaille que représente les Assises’’ nationales de l’opposition, ‘’on est en plein dans la politique’’, a-t-il soutenue au cours de ‘’remue-ménage’’, une émission de la Radio futurs médias (RFM, privée).
Par conséquent, a ajouté M. Ndiaye, par ailleurs observateur reconnu de la vie politique sénégalaise, ‘’il s’agit de savoir ce que fait l’adversaire, il s’agit aussi de dégager des perspectives, donc de baliser et pour ça le renseignement fourni un éclairage adéquat aux décideurs’’.
Evoquant les profils et non les hommes nouvellement promus, il a souligné que le commissaire Saliou Diallo, qui a succédé à Assane Ndoye à la tête de la direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), ‘’fait partie du premier contingent de grands intellectuels recrutés dans la police vers 1975’’.
A cette date en effet, a-t-il rappelé, Jean Collin, ministre d’Etat sous le règne du président Abdou Diouf, ‘’a opéré un tournant en dirigeant le recrutement du côté de l’université et des universitaires. M. Diallo fait partie de cette première phalange de policiers intellectuels excellents’’.
‘’Il faut dire que ces remaniements dans la police ont été bien balancés’’, a-t-il encore analysé.
‘’Autant M. Diallo est un spécialiste, un seigneur du renseignement’’, autant son adjoint Abdoulaye Dioum, ‘’qui a fait le Burundi et qui a fait surtout le commissariat central de Ziguinchor, est un spécialiste lui de la sécurité publique’’, a-t-il précisé.