Assurant que «la conséquence de ces messages mensongers sur la santé des populations conduites à douter de l'efficacité, des seuls médicaments dont disposent nos pays pour combattre le paludisme qui tue 2800 enfants par jour, soit un enfant toutes les secondes, est plus inquiétante que leur impact économique sur les fabricants», les conférenciers indiquent que la meilleure manière de se battre contre les «inventeurs de ce message», c'est la sensibilisation des consommateurs.
Revenant sur l'origine de cette affaire, M. Ousmane Macinanké du labo Dafra Pharma a laissé entendre que cela fait suite à une décision du gouvernement ivoirien de suspendre provisoirement l'importation de tous les antipaludéens, depuis août 2009, afin d'évaluer deux d'entre eux à l'échelle nationale. Mais, précisé M. Macinanké, quand les messages mensongers ont commencé, le gouvernement ivoirien a rendu public un communiqué pour menacer de poursuites les auteurs, qui se sont alors réorientés vers le Sénégal.
A. A. Seck
Source Le Populaire
Revenant sur l'origine de cette affaire, M. Ousmane Macinanké du labo Dafra Pharma a laissé entendre que cela fait suite à une décision du gouvernement ivoirien de suspendre provisoirement l'importation de tous les antipaludéens, depuis août 2009, afin d'évaluer deux d'entre eux à l'échelle nationale. Mais, précisé M. Macinanké, quand les messages mensongers ont commencé, le gouvernement ivoirien a rendu public un communiqué pour menacer de poursuites les auteurs, qui se sont alors réorientés vers le Sénégal.
A. A. Seck
Source Le Populaire