KAOLACK - Voilà un mois et deux jours que le commerçant W. Barry établi au coeur du quartier administratif de Kaolack, ne dort plus que d'un seul oeil. La raison est qu'il a été cocufié, car son épouse A.D, 46 ans a fugué du domicile conjugal, sans plus jamais donné de nouvelles depuis le 21 septembre dernier; pour rejoindre son amant C.D. domicilié à Dakar.
« Tout a commencé au début du mois de juin dernier, lorsqu'elle est a séjourné un mois durant à Thiès. Peu de temps après son retour, elle y est repartie pour, selon ses dires, récupérer des habits qu'elle avait oubliés. A, son retour, au 18e jour du mois de Ramadan, elle m'a dit qu'elle voulait divorcer. devant mon refus d'accéder à sa demande, elle a menacé de partir de la maison à tout moment», a narré, le coeur meurtri, le maiheureux mari cocu. Poursuivant, il a révélé que c'est sur ces entrefaites que son épouse a mis à exécution ses menaces. «Un jour, j'ai remarqué la présence d'un camion frigorifique aux alentours de la maison. Il y avait à bord un Guinéen et un Sénégalais du nom de C.D. lorsque je les ai interpelles sur la raison de la présence du camion, ils m'ont répondu que le véhicule est stationné sur la voie publique».
Par la suite, selon W. Barry ce sont ses voisins qui l'informeront avoir vu son épouse prendre place à bord dudit camion avec ses bagages. Depuis, le pauvre commerçant, qui avait en charge ses cinq enfants dont le cadet à 5 ans, consacre ses journées à s'occuper de tâches domestiques. «Il ne me reste plus que mes cinq enfants, je n'ai pas les moyens d'employer une domestique et mon commerce tourne au ralenti», a soutenu W. Barry qui est Sénégalais originaire de la Guinée.
Depuis que sa douce moitié a quitté le domicile conjugal, il soutient qu'elle n'a plus jamais fait signe de vie. «Elle ne daigne même plus répondre aux multiples appels téléphoniques que je lui fais». Pire, W. Barry, qui se réclame toujours être l'époux légitime de sa fugueuse de femme, soutient que sa dulcinée a fini par changer de numéro de téléphone. Pour tirer au clair cette affaire, le mari cocu dit s'être plaint auprès des limiers du commissariat central de Kaolack qui, indique-t-il, lui ont conseillé de poursuivre ses recherches.
Elimatle FALL (Correspondant)
Source Le Populaire
« Tout a commencé au début du mois de juin dernier, lorsqu'elle est a séjourné un mois durant à Thiès. Peu de temps après son retour, elle y est repartie pour, selon ses dires, récupérer des habits qu'elle avait oubliés. A, son retour, au 18e jour du mois de Ramadan, elle m'a dit qu'elle voulait divorcer. devant mon refus d'accéder à sa demande, elle a menacé de partir de la maison à tout moment», a narré, le coeur meurtri, le maiheureux mari cocu. Poursuivant, il a révélé que c'est sur ces entrefaites que son épouse a mis à exécution ses menaces. «Un jour, j'ai remarqué la présence d'un camion frigorifique aux alentours de la maison. Il y avait à bord un Guinéen et un Sénégalais du nom de C.D. lorsque je les ai interpelles sur la raison de la présence du camion, ils m'ont répondu que le véhicule est stationné sur la voie publique».
Par la suite, selon W. Barry ce sont ses voisins qui l'informeront avoir vu son épouse prendre place à bord dudit camion avec ses bagages. Depuis, le pauvre commerçant, qui avait en charge ses cinq enfants dont le cadet à 5 ans, consacre ses journées à s'occuper de tâches domestiques. «Il ne me reste plus que mes cinq enfants, je n'ai pas les moyens d'employer une domestique et mon commerce tourne au ralenti», a soutenu W. Barry qui est Sénégalais originaire de la Guinée.
Depuis que sa douce moitié a quitté le domicile conjugal, il soutient qu'elle n'a plus jamais fait signe de vie. «Elle ne daigne même plus répondre aux multiples appels téléphoniques que je lui fais». Pire, W. Barry, qui se réclame toujours être l'époux légitime de sa fugueuse de femme, soutient que sa dulcinée a fini par changer de numéro de téléphone. Pour tirer au clair cette affaire, le mari cocu dit s'être plaint auprès des limiers du commissariat central de Kaolack qui, indique-t-il, lui ont conseillé de poursuivre ses recherches.
Elimatle FALL (Correspondant)
Source Le Populaire