
Pour marquer les 50 ans de notre accession à l’indépendance, un hymne et un logo ont été conçus pour l’évènement. Présentant ces instruments de communication à la presse, M. Abdoulaye Baldé a indiqué que l’hymne et le logo ont été élaborés de concert avec la France et les autres pays africains. Il a ajouté qu’ils ont été aussi validés par le chef de l’Etat.
Ces festivités se dérouleront tout au long de l’année et sur toute l’étendue du territoire. Le coup d’envoi des activités sera donné le 6 février prochain au stade Léopold Sédar Senghor. Le ministre des Forces armées a annoncé également l’arrivée dans la capitale de 50 jeunes par région en plus des 100 qu’ils trouveront sur place. Ces jeunes prendront part aux festivités.
L’hymne national est composé de quatre couplets et d’un refrain. Le premier couplet, explique le colonel Mbaye Cissé, auteur du texte, chante l’unité nationale et exalte les valeurs fortes de la nation sénégalaise. Le second couplet magnifie le travail des pionniers dans la construction de notre nation et rend hommage à la devise du Sénégal (un peuple - un but - une foi). Le troisième couplet traite de la culture sénégalaise. « Il y a des vertus qui sont propres aux Sénégalais », affirme le colonel Mbaye Cissé.
Enfin, le quatrième couplet chante l’espoir, la foi en l’avenir mais également la vocation panafricaine du Sénégal. « Seul, le Sénégal ne peut pas aller loin », a dit le colonel Cissé.
Le colonel Ousmane Sar de la Direction de l’information et des relations publiques des armées (Dirpa) a, pour sa part, présenté le logo. Celui-ci est constitué de la carte du Sénégal bariolée du drapeau national et d’un nœud avec une grande inscription des 50 ans. Selon le colonel Ousmane Sar, le drapeau symbolisant l’unité nationale est la traduction de la dynamique de l’émergence dans l’effort et la dignité. Le nœud symbolise l’unité de la nation dans sa diversité qui s’exprime à travers l’hymne national et la devise du pays : un peuple - un but - une foi. La carte est le symbole de l’intégrité nationale qui, souligne-t-il, doit être protégée à tout prix. « Il s’agit-là de la sanctuarisation du territoire national », déclare-t-il.
Enfin, les 50 ans retracent le parcours effectué et les sacrifices consentis depuis l’indépendance, en 1960. « 50 ans, qui constituent une rampe de lancement pour le futur », note-t-il.
Mamadou GUEYE
Source Le Soleil
Ces festivités se dérouleront tout au long de l’année et sur toute l’étendue du territoire. Le coup d’envoi des activités sera donné le 6 février prochain au stade Léopold Sédar Senghor. Le ministre des Forces armées a annoncé également l’arrivée dans la capitale de 50 jeunes par région en plus des 100 qu’ils trouveront sur place. Ces jeunes prendront part aux festivités.
L’hymne national est composé de quatre couplets et d’un refrain. Le premier couplet, explique le colonel Mbaye Cissé, auteur du texte, chante l’unité nationale et exalte les valeurs fortes de la nation sénégalaise. Le second couplet magnifie le travail des pionniers dans la construction de notre nation et rend hommage à la devise du Sénégal (un peuple - un but - une foi). Le troisième couplet traite de la culture sénégalaise. « Il y a des vertus qui sont propres aux Sénégalais », affirme le colonel Mbaye Cissé.
Enfin, le quatrième couplet chante l’espoir, la foi en l’avenir mais également la vocation panafricaine du Sénégal. « Seul, le Sénégal ne peut pas aller loin », a dit le colonel Cissé.
Le colonel Ousmane Sar de la Direction de l’information et des relations publiques des armées (Dirpa) a, pour sa part, présenté le logo. Celui-ci est constitué de la carte du Sénégal bariolée du drapeau national et d’un nœud avec une grande inscription des 50 ans. Selon le colonel Ousmane Sar, le drapeau symbolisant l’unité nationale est la traduction de la dynamique de l’émergence dans l’effort et la dignité. Le nœud symbolise l’unité de la nation dans sa diversité qui s’exprime à travers l’hymne national et la devise du pays : un peuple - un but - une foi. La carte est le symbole de l’intégrité nationale qui, souligne-t-il, doit être protégée à tout prix. « Il s’agit-là de la sanctuarisation du territoire national », déclare-t-il.
Enfin, les 50 ans retracent le parcours effectué et les sacrifices consentis depuis l’indépendance, en 1960. « 50 ans, qui constituent une rampe de lancement pour le futur », note-t-il.
Mamadou GUEYE
Source Le Soleil